Samir Machrouh est un sportif endurant et un entrepreneur tenace. Cet ancien entraîneur de l’équipe de France de boxe olympique avait pour projet d’ouvrir son propre club d’entraînement depuis 2020. Mais, pandémie de Covid-19 oblige, ce n’est qu’en janvier 2022 qu’il concrétise son projet, dans le huppé 16e arrondissement de Paris…
Une vingtaine de cours collectifs par semaine, en petits groupes (14 personnes max) dans un espace de 300 m2 en plein 16e arrondissement, le tout chapeauté par des membres de l’Équipe de France de boxe anglaise, ça fait envie ! Et apparemment, on est pas les seuls à avoir jeté notre dévolu sur le France Boxing Club puisque la salle de boxe a ouvert ses portes en janvier 2022 et compte déjà une centaine de membres ! Et si l’aspect “professionnel” peut faire peur aux profanes ou ceux qui veulent boxer pour le plaisir, no pressure, les cours sont adaptés à tous les âges et tous les niveaux…
https://www.commeuncamion.com/2023/05/13/10-clubs-de-boxe-incontournables-a-paris/
La rappeuse Juste Shani – @juste_shani et Vincent Parisi – @parisivincent chroniqueur et champion de Ju-Jitsu, sont venus au France Boxing Club pour réaliser un reportage pour BeinSport. Sthélyne Grosy – @fanm_maada – vice championne du monde junior) se joint à eux pour être entraînée par John Dovi @johndovi81, l’un des entraîneurs fondateurs du France Boxing Club.
Le lieu : Nouveau venu sur le marché, France Boxing Club a ouvert ses portes en début d’année dans le 16e arrondissement. Les deux fondateurs de la salle, John Dovi et Samir Machrouh, anciens entraîneurs de l’équipe de France olympique de boxe lors des J.O. de Pékin, Rio et Tokyo, entendent faire découvrir leur discipline à un public plus large.
La pratique : Le club propose des cours par niveaux, allant des séances ouvertes à tous à d’autres réservées aux boxeurs confirmés et à des séances de sparring sur le ring. Au planning, on retrouve des sessions de shadow boxing, de circuit training, de sacs ou encore de technique et d’opposition. Les Plus Lus
Le public : Ceux qui veulent découvrir la boxe grâce à l’expertise d’entraîneurs très expérimentés dans une salle très bien équipée et à travers des séances accessibles et exigeantes. Les boxeurs déjà expérimentés qui veulent rester au top physiquement et continuer de s’améliorer techniquement.
Le + : Le petit sauna dans les vestiaires, la cabine de cryothérapie et la possibilité de booker des séances avec des ostéopathes deux jours par semaine. Les abonnements pour les enfants à la saison (480€)…
https://www.gqmagazine.fr/bien-etre/article/boxe-les-spots-les-plus-cool-pour-pratiquer-a-paris
À Paris, d’anciens champions et entraîneurs de l’équipe de France olympique de boxe ont ouvert une salle où tout le monde est invité à apprendre et à pratiquer. Enfants, femmes et hommes, personnes à mobilité réduite, débutants et grands sportifs, chacun peut y trouver son compte.
« Quand je sors de là, j’ai l’impression d’être toute neuve »
La nuit est tombée et le dernier cours de la journée démarre. Un grand gaillard en débardeur blanc à l’air de s’épanouir à l’écoute des conseils du coach pour travailler les pas de côté.
« Je me rends compte du bienfait de la boxe sur la vie des gens.
Ils prennent confiance, ils se dépassent. Souvent les gens me disent : « quand je boxe, je ne pense à plus rien d’autre ». En quelques mois, les gens progressent et le plaisir arrive vite. Il faut que la boxe prenne une autre place dans la société », espère Samir Machrouh. Avenue de Versailles, le message semble être bien passé.
https://www.rfi.fr/fr/sports/20220408-la-boxe-un-sport-pour-d%C3%A9compresser-et-se-sentir-bien
Un nom qui n’a pas été choisi au hasard. La plupart des coachs sont des membres ou des anciens membres de l’INSEP, l’établissement où s’entraînent les plus grands champions français dans de nombreuses disciplines… Une prouesse pour une nouvelle salle de boxe !
C’est aussi à l’INSEP que se sont rencontrés les fondateurs de « France Boxing Club ». Samir, alors jeune espoir de la boxe française, est entrainé par John, qui parmi son impressionnant palmarès, compte une participation aux JO de Sydney.
La concrétisation d’un rêve qui l’espérait aussi faire vivre à Samir avec les JO de Londres en 2012. Ce sera un rendez vous manqué pour le jeune boxeur qui met fin à sa carrière à 24 ans.
Samir rebondit en tant qu’entraineur et avec la création d’une association « Esprit boxe », mais il voit encore plus loin… Il a l’idée d’ouvrir une salle dédiée au noble art et propose à John de s’associer au projet.
Rencontre.
👉Pourquoi avoir ouvert une salle de boxe ?…
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Un nom qui n’a pas été choisi au hasard. La plupart des coachs sont des membres ou des anciens membres de l’INSEP.
Les entraîneurs de l’Équipe de France Olympique de Boxe ouvrent une salle de 300m2, ouverte à tous, même aux enfants, dans le 16e arrondissement de Paris. Au programme, des cours collectifs ou individuels, par des coachs renommés.
Une salle de boxe accessible à tous et à toutes, c’est la volonté de John Dovi et Samir Machrouh, d’anciens champions et entraîneurs de l’Équipe de France Olympique de boxe qui souhaitent partager leur passion de ce sport de combat. Avec le France Boxing Club, ils proposent, dès l’âge de 6 ans, l’apprentissage de la boxe et de techniques d’experts, à travers des cours qui s’adressent tant aux débutants qu’aux grands sportifs…
Le Français espère affronter avant la fin 2023 le champion du monde des super-moyens, dont il est le challenger numéro cinq.
«Je disputerai le Championnat du monde des super-moyens d’ici la fin d’année prochaine, remarque Christian Mbilli (27ans, 21 victoires, dont 19 avant la limite, 0 dé- faite). J’espère que ce sera toujours Canelo Alvarez qui détiendra les titres, qu’il n’aura pas encore pris sa retraite. »
Installé à Montréal depuis ses débuts pros en février2017, le nu- méro5 WBC des super-moyens (– 76,203 kg) est venu spéciale- ment à Paris afin d’assister ce soir à l’inauguration du France Boxing Club, une salle de boxe destinée au grand public, dans un quartier chic de la capitale, à quelques minutes du stade Roland-Garros.
Mais, dès hier midi, il a visité les locaux ouverts par John Dovi, son ancien entraîneur en équipe de France, et Samir Machrouh, ex-champion de France amateur.
Et, lors du déjeuner qui a suivi, dans un restaurant voisin, Mbilli est re- venu sur la défaite de la star mexicaine Saul Canelo Alvarez, battue aux points par le champion WBA des mi-lourds, le Russe Dimitri Bivol, samedi dernier à Las Vegas.
« Il est allé chercher un plus gros que lui et il n’a jamais réussi à le toucher, souligne le Français. Bivol avait une garde hermétique. Je n’ai pas le même style que lui, mais je peux avoir la même garde. Pour battre Alvarez, il faut avoir une bonne défense, être patient, avoir une stratégie, éviter ses plus gros coups. Il est très bon en crochets au corps et à la face avec son bras arrière, mais il n’a pas pu les mettre avec Bivol. »
Pour devenir challenger officiel du champion du monde unifié des super-moyens, Mbilli doit continuer à progresser dans les classements. Vainqueur de son compatriote Nadjib Mohammedi le 26 mars à Montréal, il pourrait remonter sur un ring le 16 juillet à Monaco.
Un combat en France ?
« C’est son entourage qui a contacté mon entraîneur, Marc Ramsay, pour que j’affronte Hassan N’Dam, précise Mbilli, mais ils n’ont pas encore parlé d’argent. Si cela peut se faire, je serai prêt, car j’ai déjà repris l’entraînement et je repars vendredi (demain) à Montréal. Sinon, je reboxerai en septembre, sûrement au Québec. »
Mbilli, qui a disputé ses cinq derniers combats au Canada, au Mexique et aux États-Unis, est absent des rings français depuis décembre 2019 à Levallois (Hauts-de-Seine). Pourtant, le club masculin de handball de Nantes, qui a déjà présenté deux combats de Tony Yoka, est très intéressé par Mbilli dont la famille vit à Pornic. « Ce serait formidable si je boxais en France, s’enthousiasme t-il, mais la priorité, c’est progresser dans les classements. »
En attendant de se concentrer sur son prochain adversaire, Mbilli est préoccupé par son… dé- ménagement samedi. « Il y a une grosse spéculation dans l’immobilier à Montréal, alors je viens de vendre mon appartement, avoue- t-il. Et en attendant que les prix baissent, j’en loue un autre, toujours à côté du centre-ville. Et lundi, je suis à l’entraînement »
ANDRÉ-ARNAUD FOURNY
Inauguré mi-mai à Paris, le France Boxing Club est géré par trois anciens boxeurs et entraîneurs de l’équipe de France. Leur credo ? Offrir un apprentissage du noble art à Monsieur et Madame Tout-le-Monde, à travers des cours individuels ou collectifs, qui leur serviront autant sur le ring que dans leur vie quotidienne.
Dans le coin du ring, François, 44 ans, enchaîne les coups. Direct du droit, crochet du gauche, uppercut. Toute la panoplie du boxeur y passe, tandis qu’un autre adhérent, au centre du ring, reprend les bases : mouvements d’épaules et déplacements. Face à Stéphane se dresse Samir Machrouh, ancien boxeur et entraîneur de l’équipe de France, et cofondateur du France Boxing Club, ouvert depuis le mois de janvier dans le XVIe arrondissement…